1) Pour obtenir une tension continue, il suffit d'utiliser comme générateur une pile, une batterie, ou même encore un chargeur.

2) Pour obtenir une tension alternative, je peux utiliser une prise de courant (danger !), un alternateur, faire tourner un aimant devant une bobine.

3) Pour obtenir le graphique ci-dessous, il faut d'abord mesurer la tension avec un voltmètre à intervalles réguliers : par exemple toutes les 10 secondes.

4) Ce graphique montre des tensions positives, négatives ou nulles. donc c'est une tension alternative.

5) Le même motif se répète donc c'est une tension périodique.

6) Le motif dure 120 s donc la période est de 120 s.

7) La tension maximale a pour valeur 8 V (point B ou point F).

8) La tension minimale vaut - 8 V (point D ou point H).

9) Cette tension est alternative donc ce n'est pas la tension aux bornes d'une pile.

Correction de l'exercice 3 page 191

1) L'expression "et ainsi de suite" montre qu'il s'agit d'un phénomène qui se répète, donc périodique.

2) Il suffit d'additionner les différentes durées : la période est de 6 secondes.

3) Il y a deux fois 1 seconde d'obscurité donc cela constitue deux occultations.

Correction de l'exercice 10 page 209

1) La tension maximale correspond à 3 divisions ( ou 3 carreaux).

2) La tension étant en ordonnée, il faut utiliser la sensibilité verticale.

3) Le règlage choisi étant 2 V par division, un carreau (une division) vaut donc 2 V

4) La tension maximale correspondant à 3 divisions, elle vaut donc               6 V  ( 3 fois 2).

Puisque l'oscilloscope est avant tout un voltmètre, je vais donc l'utiliser pour mesurer des tensions.

Avant chaque mesure, j'ai effectué les règlages vus la semaine dernière (voir livre page  247).

Je visualise la tension d'une pile (sans utiliser le balayage)

Le spot se déplace vers le haut (tension positive) puis vers le bas (tension négative). Le déplacement est tellement rapide que nous voyons un segment vertical dont le milieu correspond à 0 V.